56 rue Vincent Raspail
83130 La Garde, Provence-Alpes-Cote D’Azur,
Si comme nous vous faites partie d’une AMAP, vous savez qu’automne rime avec courges : butternut, potimarron, muscade… Bref, une courge par semaine à coup sûr pendant quelques mois.
Alors, on adore les courges hein. Mais une fois qu’on les a mangées en soupe et en gratin, les idées manquent.
Je vous propose donc de les utiliser d’une façon moins ordinaire et de profiter d’Halloween pour en faire manger aux enfants en les utilisant comme ingrédient principal d’un gâteau original aux saveurs d’automne. Ok, vous n’êtes pas obligés de révéler à vos enfants la présence de ce légume qu’il n’affectionnent pas toujours et qui ne les inciteraient pas à les déguster. Mais je vous assure qu’une fois qu’ils auront goûté à cette merveille de moelleux que seule la courge peut donner, ils en redemanderont.
A la maison, Toine adore, autant au petit déjeuner qu’au goûter. Si bien que nous avons toujours quelques bocaux au congélateur : profitez de l’abondance des courges d’automne pour préparer vos pâtes à gâteaux, que vous congèlerez dans des bocaux en verre. Il suffira d’en sortir un le matin pour que la pâte soit décongelée pour l’heure du goûter.
Voici donc la recette de ce gâteau, que vous pouvez également utiliser comme pâte à muffins. La recette ressemble à celle d’un gâteau au yaourt, la référence étant une tasse ; nous utilisons un mug à thé.
Facultatif : raisins secs, graines de tournesol, poires, pommes
Préchauffer le four à 180°.
Dans un saladier, mélanger le beurre + le sucre + les œufs + la vanille + la courge écrasée.
Dans un autre récipient, mélanger la farine, la levure et les épices.
Mélanger le contenu des deux récipients et éventuellement les raisins secs, les graines de tournesol, les poires ou les pommes.
Enfourner 40 mn si vous faites un gâteau, 15 mn si vous réalisez des muffins.
Si vous vous laissez tenter, n’hésitez pas à nous envoyer vos impressions et aussi vos photos!
Pour choisir leurs tissus, les consommateurs peuvent compter sur le label mis au point par Oeko-Tex. Ce dernier effectue de nombreux contrôles afin de garantir la non-nocivité des textiles pour la santé.
Créé en 1992, le label Oeko-Tex (prononcez « euko-tex ») contrôle la qualité des tissus et s’assure qu’ils ne sont pas nocifs pour la santé. Un repère pour les consommateurs lors de leurs achats.
Certains tissus sont mauvais pour la santé car ils contiennent des substances toxiques. Bisphénol A, perturbateurs endocriniens, pesticides, métaux lourds, arsenic, benzène, phtalates, et bien d’autres sont fréquemment détectés dans les textiles.
Si le consommateur est de plus en plus sensibilisé à ce problème, il dispose néanmoins de peu de moyens pour choisir ses tissus en connaissance de cause. En effet, contrairement aux aliments, le traçage des vêtements est peu clair, d’autant plus que la chaîne de production est entièrement globalisée.
Ainsi, le jean que vous portez est peut-être cousu avec du fil provenant d’Indonésie, des boutons et une fermeture éclair fabriqués en Chine, du tissu filé en Inde, tissé et teint au Pakistan, coupé au Bangladesh puis lavé et emballé en Turquie.
Difficile pour le consommateur de s’y retrouver puisqu’il n’y a pas d’étiquetage clair. Dans cette optique, l’association allemande Oeko-Tex, regroupant dix-huit instituts de recherche indépendants, a mis en place plusieurs labellisations aux cahiers des charges très stricts, qui s’adressent aux consommateurs qui souhaitent consommer de façon responsable bien sûr, mais aussi fabricants soucieux de maitriser toute leur chaîne de production.
Oeko-Tex souhaite devenir une référence et un repère pour les consommateurs responsables lors de l’achat de leurs vêtements, grâce à des certifications très exigeantes, totalement indépendantes et transparentes.
La mission d’Oeko-Tex est de garantir que le produit (ou tissu) testé est non nocif pour la santé et la peau des personnes qui sont en contact avec. Deux cas de figure pour qu’un textile soit certifié Oeko-Tex :
- il ne contient aucun produit chimique nocif
- il en contient, mais dans des quantités infimes, bien en-deçà des seuils (très stricts) fixés par le label, ce qui fait qu’ils ne représentent aucun danger pour la santé.
Les labels Oeko-Tex proposent aux consommateurs un étiquetage simple, facilement lisible pour garantir aux consommateurs des vêtements sains, écologique et respectueux des travailleurs.
Particulièrement bien abouti, il contrôle la présence ou non de substances nocives dans TOUS les éléments qui constituent un vêtement, en particulier lorsque celui-ci est destiné à être porté par un enfant dont la peau est particulièrement sensible et fragile.
Les étapes de vérification sont strictes : après l’analyse et acceptation du dossier technique, des tests en laboratoire sont effectués sur des échantillons de chaque élément du vêtement (du fil de couture aux ornements, en passant par les éventuelles mousses de remplissage). Rapidement après ce premier certificat, l’entreprise devra accepter un audit sur site (renouvelable tous les 3 ans en cas de labellisation).
Enfin de façon aléatoire, une fois le label obtenu, des contrôles de produits directement prélevés dans le commerce et/ou sur les sites de production permettent de s’assurer de la conformité avec le cahier des charges.
La liste des critères est revue chaque année afin de prendre en compte les nouvelles avancées ou découvertes dans cette industrie.